Elles ont été conçues à une époque de développement économique effréné, au lendemain d’une guerre dont la bombe atomique était l’un des enjeux.
Il n’était pas d’actualité, à cette époque, de placer la sécurité civile au dessus de la sécurité militaire. Les décisions ont été prises par des lobbies militarisés. Leurs critères de sécurité et de bien-être n’étaient pas les mêmes que ceux de la population, à preuve leur façon de gérer le personnel des centrales. ( On peut comparer ces installations à de nouveaux camps nazis, ils y brûlent du personnel par radioactivité, et vous êtes complices, malgré vous ).
Ces centrales ont été conçues à une époque ou un risque était admis du point de vue politique afin de dominer le bloc adverse ( guerre froide ). Cette politique est périmée.
Il a ensuite été dévéloppé toute une branche d’analyse de risques, et d’évaluation des probabilités d’accident ( appelée sureté de fonctionnement ), afin de masquer la vraie question : lorsque l’accident est là , on ne peut rien faire, car on ne peut plus accéder du fait de l’intensité des radiations. ( La prochaine fois, ce sera peut-être la bombe virale d’un biohackeur qui anéantira tout le personnel d’une centrale, avec les mêmes conséquences qu’à FUKUSHIMA ),
Une simple analyse du fonctionnement de ces centrales montre que le système est instable : et toute l’infrastructure est développée uniquement pour empêcher l’accident. En fait il s’agit de passer le plus clair de son temps ( de ses investissements ) à essayer d’éviter l’emballement du système.
En fait, c’est comme si une bombe sale avait été allumée et que l’on passe son temps à essayer de l’éteindre. C’est de la folie nucléaire.
Lorsque j’utilise ma plaque chauffante dans ma cuisine, si je coupe l’interrupteur, elle commence à se refroidir. Et je ne deviens pas fou.
Donc les " ingénieurs " qui avaient conçu ces installations étaient soit mal intentionnés, soit déficients intellectuellement ou mal informés ( informations volées, ou fakes ), soit persuadés d’être utiles à la science ( et sans conscience de leurs erreurs ( science sans conscience ...) ), soit contraints par leur hiérarchie militarisée. Dans tous les cas, ils ont abouti à une machine instable et dangeureuse, dont on voit les résultats à TCHERNOBYL et FUKUSHIMA, et il y en aura d’autres s’ils ne changent pas de conception.
Pourtant il ne s’agit que de produire de la vapeur. Il n’y a pas besoin d’avoir des tiges de combustible pouvant atteindre des températures supérieures à 500 °C dans l’air pour obtenir cette eau bouillante. C’est la température que j’ai mesurée sur ma plaque chauffante sans poser de cocotte-minute dessus, avec une sonde haute température. Si vous voulez beaucoup de vapeur, vous installez plusieurs cocottes-minute .
L’ erreur de conception se trouve à ce niveau. Les " ingénieurs " ont voulu concentrer la puissance et ont dépassé les limites de sécurité en augmentant la température maxi produite par les tiges de combustible, poussés par la cupidité des investisseurs ( la même cupidité anarchique qui conduit aux catastrophes boursières, ou à l’irradiation du personnel ( dans d’autres usines, ce sont les émanations chimiques, les troubles musculo-squelettiques, ou la pollution électromagnétique...) : partout on retrouve les mêmes coupables impunissables ).
Cette même cupidité qui les pousse encore de nos jours à concevoir de nouvelles centrales tout aussi dangereuses par ignorance des principes de base : il faut que les tiges de combustible ne puissent pas dépasser leur température de stabilité dans le coeur de la centrale même quand il n’y a plus de liquide de refroidissement, plus personne, ni aucune énergie disponible.
Cela s’appelle de la SECURITE, et il n’y a pas de délire de calcul de sureté de fonctionnement à faire pour cacher les erreurs de conception. La sureté de fonctionnement doit être confinée dans l’ amélioration du taux de disponibilité et doit être exclue des domaines de la sécurité.
Il faut sortir du nucléaire tel qu’il est utilisé, les centrales nucléaires sont des bombes ( sales ) à retardement datant de la guerre froide. ( D’ailleurs il n’y a pas de bombe propre ).
Seule la fission à faible température minimise les risques et les investissements, s’il n’est pas possible pour l’instant de sortir du nucléaire. Les investissements et assurances démesurés n’auront plus lieu d’être et pourront servir de contribution au développement des énergies propres, pour pouvoir fermer et démanteler la filière nucléaire le plus vite possible, car l’accumulation des déchets nucléaires n’est pas une solution. Cela passe par une réduction de notre train de vie.
Pour cela il faut éduquer la population, dès l’école, à réduire la consommation, et accepter une gestion centralisée de l’énergie pouvant délester le réseau et occasionner des coupures de courant ( tant pis pour les addicts aux feuilletons télévisés, les frileux, ... ). Nous sommes de plus en plus nombreux, et la liberté passe par des concessions sur le plan :
– du confort, du standing social,
– de la mobilité ( moins de week-ends à la campagne, moins de shopping, ... ),
– de la consommation ( moins de renouvellement des équipements ( auto, ameublement, aménagement intérieur, ...)), et l’éducation à la gestion de son stress social. A ce sujet, le comportement de la population japonaise est exemplaire, et nous pouvons facilement imaginer ce qui se passerai chez nous dans une telle situation : panique et empoignade générale ...
Tout simplement pour repousser le plus tard possible l’installation d’un régime totalitaire, ou des ilôts féodaux ( dont les bandes organisées ou les sociétés de gardiennage sont les précurseurs ( avec leurs inconvénients : taxation, territoires privés gardés par robots armés, contrôles d’identités intensifs automatisés ( N° IP, tel mobile, ...), exclusions sociales informatisées ( déjà en service ( avez vous votre carte ? )), ghettos économiques ( où vous serez jetés informatiquement dès que vous ne serez plus rentables ( déjà en service, combien de temps tiendrez-vous ? ), ... ), qui adviendront lorsque l’énergie pétrole viendra à manquer : " le monde se divise en 2 catégories : ceux qui ont des armes, et les autres : tu creuses ... ".
(LGS : l’auteur de cet article est prié de se faire connaître...)