Au secours, le peuple grec va parler !

En fait, les Grecs ont DEJA parlé : 48 heures de grève et de manifestations de masse. Avec cette nette impression d’un ton qui monte et qui pourrait faire déborder les choses. La Grèce est à 2 doigts de basculer dans une colère insurrectionnelle.

N’est-ce pas cela que le référendum tente de calmer ?

La Grèce rappelle à l’Europe ce que démocratie signifie
http://www.mediapart.fr/journal/international/011111/la-grece-rappelle-leurope-ce-que-democratie-signifie

La menace d’un krach social planétaire
http://www.mediapart.fr/journal/international/311011/la-menace-d-un-krach-social-planetaire

5,8 milliards de bénéfice pour la Banque Nationale Suisse !
http://blogs.mediapart.fr/edition/lheure-suisse/article/311011/58-milliards-de-benefice-pour-la-banque-nationale-suisse

Moralité, Sarkozy avait raison, on aurait jamais dû les laisser entrer dans l’Europe, y font vraiment n’importe quoi ces Grecs !

Sérieusemnt, l’initiative peut être intéressante si c’est la bonne question qui est posée. Si c’est pour maquiller un acquiescement tout en calmant les ardeurs de la révolte qui gronde, ce sera alors un semblant d’ouverture démocratique, un enfumage comme sont capable de commettre les socialistes Français.

On doit se souvenir de la position ambiguë de ceux-ci lors du référendum sur la Traité de Lisbonnes, et ne parlons de l’abstention qui fut la pire des hypocrisie lors du vote au congrès, si les socialistes Grecs sont du même acabit on peut en effet craindre le pire...

Excellent !

C’est tout à fait ça...

"Ciel on va demander leur avis aux gueux ! Grand Dieu, ils ont perdu la tête !" S’exclament horrifiés les rentiers...

Et on apprend que des "socialistes" influents (tssk) du PASOK veulent démissionner Papandréou, par Zeus !
http://fr.rian.ru/world/20111101/191771752.html

Ils veulent des élections anticipées : c’est plus facile à manipuler qu’un référendum.

Euh... Palmer, puisque ces débiles mentaux sont main dans la main avec ceux qui augmentent les taxes (payables même par les pauvres), je ne suis pas sûr que cela soit si drôle.

Intéressant, cet article
http://www.legrandsoir.info/vers-l-abime-2.html
vu plus haut : en fait la solution à ce que ces imbéciles ont de proche en proche décidé pour nous reste à inventer. C’est une situation nouvelle, liée au caractère mondial de transactions qui n’ont plus rien de la réalité.

Il va falloir trouver quel rouage doit être cassé, pour bloquer la course à l’abîme. Cela ne se fera certainement pas sans pertes humaines. Les difformes acteurs du système, bouffis de produits financiers délétères, ne savent même plus ce qu’ils font, sur quelle planète ils sont. Il sont simplement condamnés à courir de plus en plus vite, paniqués par... eux-mêmes. Nécessairement, le $Y$T€M va trébucher, et dans un avenir proche.

Peut-être l’affaire grecque sera-t-elle le détonateur.

"Il va falloir trouver quel rouage doit être cassé... "

Il y a bien l’électricité... ? Celle qu’il faut aux avions bombardiers, avec ou sans pilote, et autres armes de destruction massive. Appel aux experts lecteurs ! : Sans électricité, ça reste au garage, non, ces engins-là ? Nucléaires ou pas ? Ca ne peut ni être démarré, ni être piloté à distance ?
On verra après ce qu’il est possibkle de faire de tous ces monstres dont la planète est couverte...

Mais c’est l’électricité aussi qui nous procure toutes sortes de bonheurs domestiques (quand on les a) dont certains ne sont pas indispensables à la survie, certes, mais d’autres, oui... Malheur, par exemple, à qui se chauffe avec ça, comme nous y sommes très fortement encouragés.

Faire cuire, on doit pouvoir... et conduire des autos aussi (sauf les israéliennes tout-électriques) priver toute la population de l’industrie agro alim, là ... Il n’y a peut-être pas assez de jardins et de petits élevages ... Priver les hopitaux... les groupes électrogènes ?

Et puis l’électricité, aussi, ça fait marcher les énormes serveurs qui fournissent nos ordinos (FAI), même si certains de ceux-ci fonctionnent au solaire. La poste étant à peu près détruite, comment communiquer ?

Ou alors, comment organiser des pannes sélectives ? - Et sans que les possesseurs d’armes ne mettent tout Guantanamo et autres (beaucoup d’autres, c’est pas "ça" qui manque) à la gégène ?

Voici la preuve directe et flagrante que la démocratie telle qu’elle est pratiquée dans nos exemplaires pays occidentaux et exportée de force à grand coups de complots et de bombes chez les "barbares" n’est qu’une illusion.

Il est aussi possible que la majorité des grecs votant ne vote pas contre.
Il même est possible que les résultats soient truqués.
Quoi ? ça vous choque ? ça n’arrive que dans les pays "sous-dévellopés" ? Les dictatures ? Pas dans nos démocraties exemplaires ?
Vous avez vous-même dépouillé des bulletins lors d’élections, alors vous croyez en la transparence des résultats ?
Des résultats dans votre bureau de vote oui, peut-être, mais des résultats globaux ?
Et n’oubliez pas l’arrivée prochaine des merveilleux ordinateurs à voter.
Plus de dépouillage, plus de controle, même partiel, même local.

Démocratie ?

Ah oui, et puis évidement, la démocratie est aussi sur votre lieu de travail où vous passez un tier de votre vie et laissez la plus grande part de votre énergie vitale pour engraisser des vautours financiers, les décisions sont prises en faisant voter les employés. Non ?

Démocratie ?

Choisir entre deux candidats qui ne sont rien d’autre que des marionettes de ces mêmes vautours financiers, et dont la seule différence est la couleur de leur cravate (achetées dans le même magasin de luxe avec nos impots).
Vautours financiers... qui possèdent aussi les principaux journaux, télévisions, radios, instituts de sondage, etc...

Démocratie ?

Peuples, ouvrez les yeux ! Réapprenez à faire fonctionner votre cerveaux et arrêtez d’avaler la propagande officielle !
Je sais qu’il est plus facile de mettre la tête dans le sable et de croire les mensonges établis. Notre histoire est faite de majorités passives et naives. Si nous souffrons tellement, c’est parce que tout au long de notre passé nous avons laissé les bandits prendre le pouvoir, par paresse, par lâcheté, parce qu’on ne voulais pas voir plus loin que notre champs de blé (non je n’ai rien contre le blé, je ne suis pas un céréale-killer).

Pour les Grecs, une question m’obsède. Quelle question va être posée ? Sera-t-elle si biaisée que le votant sera pratiquement obligé, soit de voter contre ses convictions, soit de ne pas voter ?

J’ai participé une fois à un sondage par téléphone d’une des plus grandes officines (la première, peut-être). Avalanche de questions, sur des sujets les plus divers (ils doivent regrouper des sondages différents en un seul). Beaucoup de questions se rapportaient à des positions politiques, religieuses, sociales, etc... Mais au fur et à mesure du questionnaire, les questions étaient de plus en plus tendancieuses, avec un choix inadéquat, ce qui obligeait à répondre à côté de la plaque. Au bout de vingt minutes d’un feu roulant, j’ai décidé d’arrêter : on n’en était qu’à la moitié. Cela n’avait aucun sens. Aucune réponse ne correspondait à l’opinion du questionné.

C’est pourquoi je me méfie autant de la question, que des façons d’interpréter les réponses.

Cela fait du bien de lire ce texte, mais les commentaires des medias sont hallucinants- et terrifiants : on se croit revenus à l’époque où Hitler convoquait le Président de la Tchécoslovaquie, Benes, pour exiger de lui des excuses (peu avant d’envahir son pays). Il faudrait comparer les réactions du Figaro des années 30 sur l’affaire tchèque et celles du Figaro ou du Monde (ou du Canard enchaîné qui, s’agissant d’Europe et d’euro, ne rigole plus) d’aujourd’hui sur l’affaire grecque.

Que peut-on ajouter à ce que vous écrivez sinon, peut-être, que l’affolement des dirigeants européens, en principe élus au suffrage démocratique, devant la décision ÉLÉMENTAIRE de consulter le peuple, démontre hors de tout doute raisonnable dans quelles abysses de décadence les démocraties européennes sont plongées.

Quant à l’affolement des bourses à travers le monde occidental, il témoigne hors de tout doute raisonnable (bis) de l’incompatibilité absolue du capitalisme financier et de la démocratie la plus élémentaire.

Peut-être faudrait-il consulter les mânes de Philippe IV le bel. Il suggèrera peut-être de dresser quelques bûchers.

A l’occasion de l’annonce du référendum grec les dirigeants européens montrent leur vrai visage, celui de voyous mafieux corrompu jusqu’à la moelle méprisant l’intérêt et la souveraineté des peuples et n’hésitant pas après les mensonges et les menaces à recourir à des méthodes de gangsters.

Qu’ont-ils fait aujourd’hui ?

Eh bien ils ont tout bonnement coupé les vivres aux Grecs en piétinant leurs engagements antérieurs. Non contents « d’aider la Grèce » en lui prêtant des sommes à des taux usuriers sous la pression d’un chantage leur imposant des mesures antisociales assassines les enfermant de plus dans une récession et un surendettement dont ils ne pourraient jamais sortir, ils reviennent carrément sur ce contrat crapuleux en n’honorant ni le solde de leurs engagements échus, ni ceux qu’ils s’étaient formellement engagés à assurer au prix de saigner le peuple grec !

La Mafia ne procèderait pas autrement ! C’est un remake de la « Merkozy Connection » que l’on nous rejoue là en direct !

Ce constat n’est pas celui d’officines de gentils idéalistes anarcho-gauchistes, même des journaux allemands de Droite le font aujourd’hui, si même eux le disent, nul doute que l’on ne rêve pas malheureusement…

C’est fou ce que l’on peut brusquement devenir compréhensif pour peu que l’on vous braque un 38’’ sur la tempe, humain trop humain...

C’est le cas de George Papandreou aujourd’hui, après qu’on ne lui ait à peu près rien épargné, mis à part peut-être l’éventualité d’envoi de nukes sur son pays, (c’est trop près de toute façon, ça risquerait de leur retomber sur la gueule...) voilà que notre ami grec de l’Internationale Socialiste parle de mettre à la poubelle son idée saugrenue - que dis-je obscène - de référendum populaire grec !

Putain ! Si les camarades grecs descendent pas tous dans la rue sur ce coup là , c’est que le larbinisme a encore de beaux jours devant lui en Europe...

Le félon - le Ministre des finances grec Evangelos Venizelos, c’est lui qui a tordu le bras de son patron et compatriote George Papandreou pour le compte de la "Merkozy Connection"...

Je ne serais pas surprise par contre que ses finances personnelles aient très bien pu faire un sacré bon en avant ces dernières heures, ne croyez-vous pas ?